
Né en 1948, Yves Hasselmann vit et travaille dans le Territoire de Belfort.
Il s’exprime très tôt au travers de la musique et de la peinture. Ces deux univers lui deviennent rapidement indissociables. Il y puise l’énergie, la passion, l’émotion et la liberté indispensables à sa vie.
Il apprend le piano dès 6 ans. Après une licence de philosophie, il commence à travailler la peinture à 23 ans et se lie d’amitié avec les peintres Jean Messagier et Ladislas Kijno. Son premier album de musique « travelling », un 33 tours, date de 1973. Sa première exposition à Paris a lieu en 1976.
De compositions en enregistrements, de concerts en expositions, Yves Hasselmann poursuit un chemin qui le conduit rapidement à l’abstraction dans le domaine pictural et à une liberté de ton dans celui de la musique.
Qualifiées tour à tour de jazz, blues, free ou de traverse, les musiques d’Yves Hasselmann et ses dix albums nous emportent dans un univers à part. Pendant quarante ans, il compose, improvise, accompagne l’image… au piano, au synthétiseur, en solo, duo, trio…
Vive, sûre, posée et contrôlée, la force de la peinture d’Yves Hasselmann est le reflet de sa gestuelle au piano.
Son travail de peintre coloriste se caractérise par de nombreuses séries empreintes de son environnement et de ses traces intérieures. Les supports de ses œuvres (toiles, papiers, métal…) se diversifient au cours des années.
En 2006, il présente simultanément en public ses deux passions en Franche-Comté : une toile « de concert » avec ses claviers. Tour à tour piano et chevalet, notes de musique et touches de couleur. Une performance.
En 2009, le noir et le blanc se sont imposés à lui, cheminement vers la lumière. Sur métal, les « insolites ». Une technique maîtrisée qui le conduira en 2010 à des travaux de collages dont « la suite Rimbaud ».
Il met ensuite en scène une nouvelle série « family » : une famille, ensemble de toiles quasiment identiques mais de formats différents, accompagnée d’un support musical de sa composition.
En 2012, il revient à ses fondamentaux et à l’huile. Admirateur de Gerhard Richter, ses nouvelles toiles 2013-2014 « reflets » et « lisières » aux couleurs évocatrices, s’appuient sur des souvenirs diffus.
Parallèlement à son travail de peintre, Yves Hasselmann compose, joue et enregistre en juin 2014 son dixième album « touches de silence », ensemble « nappé de jazz et de cinéma italien, serein et apaisant ».
Il s’exprime très tôt au travers de la musique et de la peinture. Ces deux univers lui deviennent rapidement indissociables. Il y puise l’énergie, la passion, l’émotion et la liberté indispensables à sa vie.
Il apprend le piano dès 6 ans. Après une licence de philosophie, il commence à travailler la peinture à 23 ans et se lie d’amitié avec les peintres Jean Messagier et Ladislas Kijno. Son premier album de musique « travelling », un 33 tours, date de 1973. Sa première exposition à Paris a lieu en 1976.
De compositions en enregistrements, de concerts en expositions, Yves Hasselmann poursuit un chemin qui le conduit rapidement à l’abstraction dans le domaine pictural et à une liberté de ton dans celui de la musique.
Qualifiées tour à tour de jazz, blues, free ou de traverse, les musiques d’Yves Hasselmann et ses dix albums nous emportent dans un univers à part. Pendant quarante ans, il compose, improvise, accompagne l’image… au piano, au synthétiseur, en solo, duo, trio…
Vive, sûre, posée et contrôlée, la force de la peinture d’Yves Hasselmann est le reflet de sa gestuelle au piano.
Son travail de peintre coloriste se caractérise par de nombreuses séries empreintes de son environnement et de ses traces intérieures. Les supports de ses œuvres (toiles, papiers, métal…) se diversifient au cours des années.
En 2006, il présente simultanément en public ses deux passions en Franche-Comté : une toile « de concert » avec ses claviers. Tour à tour piano et chevalet, notes de musique et touches de couleur. Une performance.
En 2009, le noir et le blanc se sont imposés à lui, cheminement vers la lumière. Sur métal, les « insolites ». Une technique maîtrisée qui le conduira en 2010 à des travaux de collages dont « la suite Rimbaud ».
Il met ensuite en scène une nouvelle série « family » : une famille, ensemble de toiles quasiment identiques mais de formats différents, accompagnée d’un support musical de sa composition.
En 2012, il revient à ses fondamentaux et à l’huile. Admirateur de Gerhard Richter, ses nouvelles toiles 2013-2014 « reflets » et « lisières » aux couleurs évocatrices, s’appuient sur des souvenirs diffus.
Parallèlement à son travail de peintre, Yves Hasselmann compose, joue et enregistre en juin 2014 son dixième album « touches de silence », ensemble « nappé de jazz et de cinéma italien, serein et apaisant ».